Une balade d’une heure sans casque, sans camera de vidéo surveillance, sans reconnaissance facial, sans ceinture ni bretelle, une heure pour se sortir de cette phobie hypersécuritaire rigide et conservatrice.

Une balade d’une heure sans casque, sans camera de vidéo surveillance, sans reconnaissance facial, sans ceinture ni bretelle, une heure pour se sortir de cette phobie hypersécuritaire rigide et conservatrice.
Amener les gens des ténèbres à la lumière, ou les sortir de l’obscurantisme, sont des combats menés depuis des siècles. méritent ils d’être actualisés et réorientés?
L’art doit-il être forcément esthétique, technique et académique ou commerçable et monnayable puis raisonnable, aseptisé, moralisateur et bienveillant?
La boîte, ses boutons et tous les souvenirs qu’ils évoquent. Tout remonte doucement, par bribe, comme les miettes d’un passé qu’on aurait confiné des années dans ce reliquaire.
Aventure qui commence dans l’aéroport d’Orly sud, avec la récupération d’un paquet suspect, pour s’achever dans la banlieue de Tunis en passant par Matmata, Chenini et Tataouine. On y découvre un vieil homme en burnous, un dromadaire incarcéré, un bédouin isolé sous sa tente berbère et une jeune fille promise en mariage dont le destin bascule.
C’est une histoire qui débute comme une mauvaise série télé américaine, se poursuit comme un conte de fée pour se terminer comme une addiction qui a complètement bouleversé ma vie